Elliot Moss – Boomerang

Certes, c’est un Ep 7 titres de 25 minutes mais quel moelleux, que confort dans ces musiques préposées par ce garçon qui, dès 2015, se plaçait dans le sillage, pour ne pas dire sur la même ligne que James Blake avec un premier album (High speeds) déjà bien séduisant.

Deux ans plus tard, ce jeune New Yorkais revient avec une production encore supérieure, où les cordes viennent se poser sur les nappes de synthés dans des compositions néo-soul mélancoliques de toute beauté. Dommage que l’autotune s’invite sur le final est vienne ainsi apporter une touche de "banalité" dans cet ensemble tellement élégant.