“Ils sont vivants” de Jérémie Elkaïm
Malgré une belle histoire, Jérémie Elkaïm ne parvient jamais à transcender son sujet. Ils sont vivants reste un film honnête mais trop maladroit pour convaincre.
Malgré une belle histoire, Jérémie Elkaïm ne parvient jamais à transcender son sujet. Ils sont vivants reste un film honnête mais trop maladroit pour convaincre.
Dans Arthur Rambo, Laurent Cantet, nous raconte le parcours peu commun d'un jeune de banlieue, promis à un bel avenir journalistique et littéraire, mais qui finira par se faire rattraper par son double maléfique.
En partant d'un dispositif intéressant (le fameux plan séquence unique), The chef met en scène une galerie de personnages très variée mais ne réussit pas totalement à convaincre.
Un jeune juif tente de sauver sa peau en jouant d'un subterfuge linguistique. Scénario malin et suspense haletant au programme des Leçons Persanes.
Pour son premier film, Yohan Manca propose une chronique sociale sincère qui évite les clichés en suivant le parcours d'un jeune garçon qui tente de s'extraire d’un milieu défavorisé grâce au chant lyrique.
Ours d’or à Berlin en février 2020, Le Diable n’existe pas malgré ses qualités formelles indéniables se révèle quelque peu décevant de par son aspect un brin trop didactique.
Malgré une bande-annonce et un pitch prometteurs, Madeleine Collins ne convainc pas vraiment au-delà du portrait de femme schizophrène coincée dans sa double vie que tente de dresser Antoine Barraud.
Audrey Diwan s'empare d'un sujet fort et toujours d'actualité pour un film auquel il manque sans doute une patte de cinéaste pour une en faire une œuvre complète.
Jane Campion adapte le roman The Power of the Dog avec un film d'ambiance, minimaliste et visuellement très beau, servi par un casting parfait.
Pedro Almodovar de retour au mélo avec Madres paralelas. Un film sans aucun doute mineur dans sa filmographique mais qui par la qualité de sa mis en scène et de son interprétation vaut malgré tout le détour.