"La guerre par d'autres moyens", de Karine Tuil
Karine Tuil déçoit avec "La guerre par d'autres moyens", un roman aux personnages bien peu passionnants, dans un récit qui aborde des tas de thèmes, sans vraiment trouver une ligne directrice.
Karine Tuil déçoit avec "La guerre par d'autres moyens", un roman aux personnages bien peu passionnants, dans un récit qui aborde des tas de thèmes, sans vraiment trouver une ligne directrice.
On en prend plein les yeux durant 1h50 dans le nouveau film du Chinois Hu Guan, qui a reçu le Prix "Un certain regard" au dernier Festival de Cannes. Un film sombre mais superbe.
Orelsan et Jonathan Cohen réunis dans un mockumentaire ultra potache, sur Prime Video, dans lequel l'acteur incarne un chanteur totalement délirant.
L'Attachement, de Carine Tardieu, malgré des qualités évidentes, n'a pas réussi à m'émouvoir plus que ça.
On espérait beaucoup de ce retour de bref, plus de 10 ans après le succès de la saison 1. Et on n'est pas déçu, car la série s'est enrichie tout en gardant son ADN.
Au delà du témoignage important que constitue ce film basé sur une histoire vraie, Nils Tavernier ne propose rien de plus qu’une simple transposition à l'écran du récit de Guy Birenbaum.
Leïla Slimani clôt en beauté sa trilogie avec un 3e volet axé sur la troisième génération de la famille Belhaj, incarnée par les filles Mia et Inès.
Ponctué de quelques scènes impressionnantes, The Brutalist est un film beaucoup trop long et qui dégage au final une impression de lourdeur assez dommageable.
Walter Salles nous plonge au coeur des années 70 au Brésil, quand la dictature miliaire arrêtait et emprisonnait les opposants au régime. Il signe très beau film, porté par l’actrice Fernanda Torres.
Sans surprise, Un avenir radieux prolonge le bonheur de lecture ressenti avec les deux premiers tomes de la saga Les années glorieuses. Pierre Lemaître est toujours aussi bon.